Le Cocker Spaniel américain, une douce personnalité dans un habit de fourrure
Le Cocker américain est issu du cocker anglais. Il appartient à la famille des Spaniels, qui a été développée dès le 14 ème siècle.
Le Cocker anglais a été introduit aux États-Unis, puis élevé en vue de réduire sensiblement sa taille. Une seconde race s’est alors détachée, avant de recevoir le nom de « Cocker Spaniel américain » , puis d’être officiellement baptisée » Cocker américain » par l’American Kennel Club, en 1882. Cette dernière est ensuite devenu très populaire aux États-Unis et a fait son apparition en France en 1956.
De taille moyenne, ce chien mesure 38 cm pour le mâle et 36,8 cm pour la femelle, avec un poids allant de 7 à 14 kilos suivant le gabarit. Il est le plus petit des races de Spaniels. Son crâne est arrondi avec un museau qui se démarque nettement. Ses dents ses croisent en ciseaux.
Son pelage mi-long, plat ou légèrement ondulé, est plus volumineux sur les oreilles, la poitrine, les pattes et l’abdomen. Sa robe peut être unie dans toutes les teintes, ou noire avec des extrémités feu, merle. Avec ce dernier pelage, les yeux bleus sont tolérés. Il nécessite beaucoup d’entretien, avec un brossage quotidien, pour éliminer les végétaux logés dans son pelage et éliminer les nœuds qui se forment.
En famille, il se montre à la fois vif et doux, avec un enthousiasme que trahit sa queue en perpétuel mouvement. Il aime tout le monde. Une socialisation en bas âge est cependant indispensable pour l’aider à vaincre sa timidité naturelle et apprendre à rester à sa place de chien. A défaut, il va s’ériger en chef de meute et développer de sérieux troubles du comportement. Si peur et timidité s’installent, le cocktail peut d’ailleurs être explosif, l’animal devenant méchant.
L’avis des connaisseurs : le Cocker américain est un animal sensible, qui peut se montrer nerveux y compris s’il a fait l’objet d’une bonne sociabilisation étant chiot. Il est susceptible d’aboyer, ce qui impose de lui apprendre à s’interrompre à la demande, pour faciliter la gestion de ce comportement parfois gênant. Il est impératif de l’éduquer et lui faire vivre des expériences variées très tôt, pour lui apprendre à dépasser sa réserve naturelle.
Sources :
http://dogtime.com/
http://www.petwave.com/
http://www.dogbreedinfo.com/
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