L’aquariophilie récifale, un luxe à notre portée ?
Avoir un aquarium récifal chez soi a longtemps été réservé à des privilégiés. En effet, ce plaisir était hors de prix, laissant de nombreux passionnés d’aquariophilie sur leur faim. Mais de nos jours, les choses évoluent, preuve en est la multiplication des points de vente offrant une large sélection de sujets d’eau de mer.
En dépit de cette nouvelle accessibilité, l’eau salée conserve sa réputation d’antan. Si les paramètres d’un grand bac sont toujours plus faciles à équilibrer, des cuves plus compactes sont apparues, à la fois plus abordables et moins effrayantes en termes de gestion au quotidien. Leur taille les rend également plus faciles à intégrer dans une maison ou un bureau.
Le plus important est de bien garder à l’esprit qu’un plus petit aquarium a pour conséquence une population moins importante et des poissons de plus petite taille, ainsi qu’une plus grande fragilité de l’écosystème. Ce qui de prime abord est un atout pour certains peut dès lors devenir un obstacle au plaisir pour d’autres.
Mais il faut faire un choix, et lorsque pour une raison ou une autre, il est impossible d’installer un bac de plusieurs centaines voire milliers de litres, il faut accepter ses limites, pour le bien-être des pensionnaires qui vont y être logés.
C’est ainsi que des bacs tels que le Bio-Cube Coralife ou la série Nano Cube de JBJ (cf photos ci-dessus, au centre de ce sujet) peuvent parfaitement ouvrir les portes du monde de Némo aux novices.
Si nous ajoutons à cela le fait que de plus en plus d’espèces sont élevées en captivité au lieu d’être prélevées dans la nature, il devient possible, à condition de se renseigner préalablement, d’avoir chez soi un petit bout de paradis sans puiser dans les réserves naturelles largement mises à mal à travers le monde.
Sources :
http://reefkeeping.com/
https://www.petage.com/
http://blog.marinedepot.com/
http://archive.reefcentral.com/
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